La lugubre histoire de la baguette de Sureau et de ses possesseurs !

La lugubre histoire de la baguette de Sureau et de ses possesseurs !

La baguette de Sureau et ses processeurs !

[ANECDOTE]

La lugubre histoire de la baguette de Sureau et de ses possesseurs !

Vous connaissez sûrement tous les légendaires Reliques de la Mort présentées dans « le conte des trois frères » : soit la baguette de sureau, la pierre de résurrection et la cape d’invisibilité. Eh bien aujourd’hui, nous allons vous conter, dans toute son entièreté, l’histoire de la première de ces trois reliques, celle de « L’Elder Wand » aka la baguette de l’aîné !

Comme son nom en anglais l’indique, la baguette de sureau représente le premier objet façonné pour l’aîné des trois frères. Un objet qui possède une histoire bien différente des deux autres, avec une « vie » bien plus sombre et sanglante, passant entre les mains des pires assassins ou mages noirs du passé. Une baguette convoitée par des personnes avides de puissance, pouvant aller jusqu’à tuer pour pouvoir la posséder !

Mais tout d’abord si vous le voulez bien, revenons sur ce qu’est vraiment la baguette de sureau. Cette baguette est connue sous plusieurs noms. En français comme en anglais, sa nomination indique l’origine du bois dont elle est constituée. A cela s’ajoute un second sens par le mot « Elder » dans la langue originelle de sa créatrice (JK Rowling) signifiant aîné ou ancien. Traduction que l’on n’a malheureusement pas en français. Elle fût aussi appelée, « Wand of Destiny », la baguette de la destinée. Ce nom évocateur de puissance ou encore de grandeur accentua la volonté de conquérir cette baguette à de nombreux sorciers. Même, certains de ses « maîtres » lui ont attribué d’autres noms au fils des années. Mais cela nous en parlerons un peu plus tard !

Bref, reprenons, la baguette de sureau, d’après des notes laissées par le très célèbre Garrick Ollivander, a un design inhabituel et chaque détail démontre un aspect unique ou exceptionnel selon les normes de fabrication de la baguette. En général, le bois de sureau appelle à une rare corresponsabilité amenant ceux qui ont la chance de pouvoir être choisis, à avoir une destinée ou un destin particulier. Mais la relique est encore plus spéciale que cela… Elle ne possède pas un substitut magique classique en son sein comme un ventricule de dragon ou encore du crin de licorne, mais un poil de sombral. Ces chevaux ailés étroitement liés à la mort (logique vous allez me dire, lorsqu’on croit au mythe de sa création) mais possédant aussi des capacités étranges affectant la baguette d’une manière incertaine, et suggérant une grande puissance.

Maintenant, que nous connaissons tous plus précisément ses origines ainsi que sa constitution, arrêtons-nous quelques lignes sur son parcours et ses différentes allégeances. Malgré un doute toujours subsistant, le seul point de départ connu de cette baguette est Antioche Peverell, soit l’aîné des trois frères. Ce dernier, comme le conte l’indique, fut un jour emmené par la mort, assassiné, malgré la toute puissance de sa baguette. D’ailleurs, quand on reprend la célèbre réplique : « C’est la baguette qui choisit son sorcier », on peut catégoriser cette dernière comme impartiale et impitoyable dans ses choix, attirée uniquement par le pouvoir sans volonté réelle de se lier à son porteur. Nous ne connaissons malheureusement pas le second possesseur, assassin et voleur de la baguette d’Antioche… En revanche, nous avons plus d’informations sur le parcours de cette relique de la mort entre le XIIIème et le XIXème siècle !

Emeric le Mauvais, un sorcier célèbre amenant la terreur au sud de l’Angleterre fut son possesseur avant de se faire tuer en duel par Egbert le Magnifique qui récupéra la baguette avant de disparaitre dans l’oubli. Un siècle s’écoula, siècle relativement flou avant qu’apparaisse le mage noir Godelot, la baguette de sureau en son allégeance. Comme je vous l’ai stipulé plus tôt, ce sorcier donna un autre nom à la baguette « Plus malfaisante et subtile amie, avec un corps de sureau, qui connaît les voies des grandes noirceurs de la magie. » dans son œuvre littéraire « Des Grandes Noirceurs de la magie ». Mais la « course » à la puissance aussi sanglante soit elle est encore loin d’être finie… Hereward, fils de Godelot, assassina son père en l’enfermant dans la cave afin de récupérer la baguette à son tour. Même les liens familiaux ne sont pas suffisamment forts pour contrer l’envie de posséder la relique.

Plusieurs siècles passent à nouveaux pour nous amener au XVIIIème ! Barnabas Deverill, ce redoutable démoniste et possesseur de la baguette de sureau se fait tuer par Loxias, un autre sorcier en quête de pouvoir. Si Barnabas nommait la baguette « La baguette de Sambucus », Loxias la renomma « Le Bâton de la Mort » avec lequel il fit un carnage. La suite est relativement floue… Il y a trois prétendants à la baguette de sureau mais personne ne sait réellement à qui elle fait allégeance. Arcus et Livius, qui ont en leur possession la baguette depuis la défaite de Loxias, mais aussi la propre mère du sorcier revendiquant le meurtre et la baguette ! On vous l’avait dit… Famille ou pas, qu’est-ce que ça change, après tout ? Par la suite, deux siècles s’écoulèrent encore sans réelle information sur le chemin qu’a pu entreprendre la baguette de sureau pendant cette période avant de finir au XXème siècle entre les mains du fabricant de baguette bulgare Gregorovitch ! Ce dernier va survivre à la visite du très célèbre mage noir Gellert Grindelwald mais au prix de l’objet tant convoité.

A partir de ce moment-là, il est facile de retracer son chemin bien qu’il soit drastiquement différent. En effet, la baguette de sureau va faire allégeance à plusieurs sorciers sans qu’ils aient eu besoin de tuer le précédent propriétaire. Albus Dumbledore gagne son duel contre Grindelwald et récupère la baguette. Dumbledore va alors se voir désarmé par Drago Malfoy qui sans le savoir va devenir à son tour le maître de la relique pour qu’enfin Harry Potter désarme Drago et que l’Elder Wand décide encore une fois de changer d’allégeance. Bien-entendu, entre-temps, Lord Voldemort obtient le bâton de la mort entre ses mains mais jamais la baguette n’accepta ce redoutable sorcier. Harry Potter casse la baguette dans une scène emblématique du 7ème opus avant de la jeter au loin pour prononcer la fin du long chemin ensanglanté de la baguette. Ou bien encore dans le livre, où elle fut une seconde fois scellée dans la tombe de Dumbledore. 

Mais notre article n’est pas encore fini ! Comme vous avez pu le constater, aucune sorcière, du moins à notre connaissance n’a eu la « chance » de pouvoir posséder la baguette. Cependant, quelques doutes persistent ! La baguette aurait peut-être pu donner son allégeance à deux sorcières. La première, la mère et assassin de Loxias comme nous avons pu le voir un peu plus haut dans l’article. La seconde, Tina Goldstein, qui dans « Les Animaux Fantastiques » désarme Grindelwald, mais personne ne sait si la baguette à ce moment précis décide de changer d’allégeance envers elle. 

Maintenant que vous connaissez son histoire, faites-nous partager vos impressions et dites-nous laquelle des trois reliques vous auriez aimé avoir en votre possession !

Crédit : Côme C, Plume de La Plume de Poudlard ! 

Sources : Wizarding World : https://bit.ly/3jSZNMZ,Harry Potter Fandom : https://bit.ly/2GVe1ym 

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2 commentaires
  • moi se serais la cape d’invisibilité parce que je pourrais aller au ciné gratuitement et faire des blagues…

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